Le sieur V était un templein...un gars qui bosse au temple..

Vandal se dirigea d'un pas rapide vers l'endroit ou ils avaient laissé leur commanditaire. Il ne désirait pas trainer plus longtemps. Les gars derrière suivraient, ou bien ils les retrouveraient. Il traversa les rues bordées d'échoppes, entra dans le large batiment et se dirigea vers le centre de la pièce, les larges obélisques noris se rapprochaient. Il comptait bien entrer dans le bureau du sieur V sans frapper, sauf si quelque chose ou quelq'un l'y obligeait...

Enaryon suivait Vandal sans trop de peine en accelerant le pas.

* Ellion prenait note de l'architecture et des ruelles du village. Il avait une mauvaise mémoire des parcour alors essayait de les retenir au lieu de regarder ses pieds.
Il savait où le groupe allait par contre il en savait pas comment Vandal allait s'y prendre poru demander du travail au sieur V. Tout ce qu'il espérait c'etait de s'en mettre rapidement plein les poches en executant des taches utiles mais pas trop degueulasses.*

* Ellion prit la parole sur un ton calme et naturel pour ne pas eveiller l'attention.*Bien le bonjour monsieur V, nous venons parler affaire.

Notant la méprise de son compagnon Vandal s'avança à son tour vers le zombie muet.

"Hep là l'ami, dis moi, saurais tu ou je peux trouver notre ami commun, le sieur V..."

Il s'attendait à se que bernardo lui indique d'un quelconque signe de la main ou lui écrive quelque chose sur un bout de n'importe quoi qui lui donnerai un indice...

Le mort prit un petit bout de parchemin, lécha soigneusement sa plume sur une langue râpeuse et congestionnée puis traça élegamment quelques caractères ; avant de lui tendre le papier :

"Où ? Sieur Vé ? Connaypa."

Vandal se sentit soudainement très stupide... Il prit un petit temps pour choisir ses mots et sussura quelque chose à l'oreille du serviteur et se recula poru voir sa réaction. Il ajouta tout de même:
_Peut-être ais-je réagi un peu trop violement...veuillez me pardonenr si je vosu ai offensé...

Le zombie obèse sourit, déchira un autre bout de parchemin et écrivit calmement sa réponse, qu'il rendit bien visible :

"J'aydumal avec les noms, mais j'aimerais mieux que tu dessine son portrait sur un boudparsemin que dans mes entrailles, je crois que ça serais pas facile pour toi.

Péhesse : Je m'appelle Mü, Bernardo c'est le toutransparan qui convoie les missives dans le Keur."

OK ok excuse moi je me suis emporté moussaillon. Bon, je peux dessiner là? OUi? Très bien.. Donne moi ce stylet... merci

Vandal s'appliqua bien à dessiner quelque chose qui ressemblait au sieur V... Une fois son oeuvre terminée, il l'exhiba devant Bernardo([HRP]même si bernardo c'est pas lui, c'est bernardo quand même[/HRP]).

Hep, prince, venez voir un peu par ici, c'est ressemblant non?

* Ellion s'approcha et jeta un oeil sur le gribouilli infame du pirate mais qui contenait le principal : un zombi avec un gros ventre des babioles partout l'air riche et imposant.*
Votre dessin est splendide capitaine tout à fait ca! Vous savez bien monsieur * fit il dans la direction du serviteur* celui qui a payé pour nos soins l'autre soir.

Au lieu du gribouillis vaguement fouillé qu'ils s'attendaient à trouver, les compagnons de Vandal eurent la surprise de voir celui-ci tracer un croquis très honnête de leur commanditaire, au style peu soigné mais diablement bien executé : quoique sa spécialité fut le luth, Vandal avait un bout de fibre artistique bien implanté.

Le secrétaire zombie sembla hésiter profondément à la remarque d'Ellion, puis sourit et hocha la tête en voyant le dessin de Vandal. Il rédigea rapidement une nouvelle réponse, et tous penchèrent la tête pour la voir se former :

"Sieur Valadon ? Dit toujours de le retrouver à la chambdukomerce."

_Ah merci bien l'ami, mais, ou est donc cette chambre du commerce? Pouvez-vous nous faire un plan histoire qu'on ne se perde pas?

Au fond, Vandal commençait à bien l'aimer ce p'tit gars là...

Le zombie retourna son parchemin, qui commençait à être surchargé, et repris de son élégante écriture :

"Je sé pas. Je sors jamais. Je sé juste que tous les pingredincroyantfortunés y vont."

*Ellion qui se trouvait tout à proximité de Vandal entendit fearan poser sa question.*

Vous savez Fearan, ce n'est pas parcequ'il n'existe pas de monnaie que des gens n'ont pas senti le besoin de dedier un endroit officiel au troc. Après tout, il est plus pratique de savoir où trouver des marchandises. Et l'absence de monnaie evite peut etre les vols.

"Oui c'est vrai cela parait en effet une bonne idée!" répondit Fearan à Enrayon, puis s'adressant çà Vandal il demanda "Quelle genre de mission vous a déjà confié le sieur V?!?Je veux dire peut être pouvont nous aussi obtenir des missions d'un genre de milice local, après tout si nous exterminons un camp de bandit, nous trouverons peut être du bon matériel à l'oeil"

Enaryon qui avait entendu la question répondit a fearan :"Oui c'est vrai, mais si le sieur V, qui a l'air assez riche, daigne nous donner une mission d'extermination dans le même genre que de détruire un camp de bandit, nous ferions un coup double avec la prime." dit-il en souriant.

* Ellion pensa pour lui même: ma parole j'ai trouvé plus idiot que moi.*

Vous avez tout à fait raison, dans l'idéal mais je pense que la situation sera nettement plus subtile et m'est avis qu'on ne peut se faire la gloire en ce monde d'avoir expirer quelqu'un.

Voyez-vous, si vous criez sur tout les toits que vous avez tué un malfrat, ses amis viendront surement vous rendre une petite visite de courtoisie qui vous restera... en travers de la gorge.

Restons dans l'ombre, contentons-nous de peu dans un premier temps c'est la manière la plus sûre pour avancer.

_Un de mes vieux copains disait souvent, pour vivre heureux, tuons caché...seulement, un jour, quelqu'un s'est mieux caché que lui. Bon, que faisons nous?

Les tentures s'écartèrent alors, révèlant un squelette drapé d'un manteau de fourrure noire tachée d'ichor, et dont la tête était invisible. Tout le haut de sa cage thoracique était réduit à des fragments pleins d'échardes, et il hésitait quelque peu en marchant. Il s'immobilisa, et écarta son vêtement, rêvelant le crâne fort endommagé qu'il tenait en main. Celui-ci fit, d'une voix hésitante :

"Si vous vouliez vous dépêchez... messieurs... va devenir une urgence..."

Vandal dévisagea un instant le nouveau venu:

_Ah, bah j'ai trouvé quoi faire moi...

Délaissant Bernardo, Vandal s'approcha lentement du nouvel arrivant, puis, ayant bien vérifié que rien de d'immédiatement fâcheux ne suivait le nouvel arrivant, il fit signe à Fearan d'aller surveiller les environs immédiats, au cas ou un impromptu opposant se pointerai avec des idées possédant une trop forte teneur en pesnées meurtrières. Prenant bien garde de ne pas lui-même se blesser contre les choses bizaroides qui sortaient de monsieur, il entraîna alors l'homme sans tête vers le bureau de Bernardo et el fit asseoir contre celui-ci (le bureau, pas Bernardo). Il dit à voix basse en directiond e la main tenant le crâne:

_Alors l'ami, qu'est-ce qui vous arrive? Le parchemin, il doit aller ou?

Puis il haussa la voix, sans quitter du regard le pauvre gars mal en point:

_Fearan, va à l'infirmerie moussaillons, annonce leur qu'ils ont un client... BOUGE! Bon, quant à vous, essayez de tenir bon, et dîtes moi ce dont il retourne.